L’art du corps
De mon carnet d’aventures sexuelles, vénales et
insolites. (Les
adresses ne sont pas publiées, mais je peux les communiquer sur demande, d'une
manière discrète, à convenir).
Paris, Septembre 2007.
Au cinquième étage d'un immeuble parisien propre mais sans charme, j'ai sonné
tout en examinant la plaque "Conseil en
développement corporel". Une voix rauque et maussade, plutôt mâle à
moins que ce ne soit celle d'une grande fumeuse a demandé « C'est qui? »
« Valcour. Nous avons rendez-vous. »
La porte s'est entrouverte. J'ai distingué dans la pénombre une créature aux
muscles énormes, nue sauf un assemblage d'étroits rubans verts fluo qui lui
passait entre les cuisses, lui ceinturait la taille et lui couvrait tout juste
les tétons, accrochés en avant de gros seins fermes et visiblement siliconés.
C'était bien une femme, comme en témoignaient les grosses lèvres de son sexe
qui émergeaient d'une fente ménagée entre les rubans qui jouaient le rôle de
bikini. Comme je regardais sa peau bronzée, qui luisait comme passée à l'huile
solaire :
-- Si t'aimes la viande ferme, tu vas être servi.
Elle faisait jouer ses pectoraux et ses biceps. Le moindre de ses mouvements
mettait en action des muscles surdimensionnés. D'énormes veines apparentes
parcourraient ses cuisses et ses mollets. La contraction des muscles les
faisaient ressortir.
-- C'est 200.
-- Pour une heure? (hasardais-je timidement).
Grand rire :
-- Ça dépendra si tu m'plais! C'est moi qui déciderai.
J'étais embarqué.
-- Vous êtes superbe.
-- Pas de manières, mon chou, moi c'est Gina. Et toi?
-- Valcour.
-- C'est pas un prénom ça!
-- C'est mon nom de guerre, ou plutôt d'explorateur. Je ne fais la guerre à
personne.
-- Avec moi tu vas en découvrir. Montre-moi ta saucisse.
Elle commençait à défaire ma ceinture et à plonger sa main dans mon slip pour
tâter ma raideur.
-- Tâte-moi donc, t'a payé pour ça. T'es timide comme un préado.
Je dirigeais ma main vers son bas-ventre et sa chatte dont les grosses lèvres
pendaient, mais elle a vite interrompu mon exploration.
-- À la douche, mon chou, j'aime pas les odeurs de
sueur. Surtout des mâles.
Elle a surveillé que je me savonnais bien partout. Elle m'a emmené dans une
pièce encombrée de matériel de culture physique et dont les murs étaient
décorés de photos en noir et blanc de nus musculeux, mâles et femelles, plus
grands que nature. Elle s'est allongée sur un mince matelas de mousse recouvert
d'un drap blanc, propre et imprimé de caractères chinois rouges et noirs. Elle
avait du goût malgré des manières assez brusques. Elle m'a offert de tâter ses
gros seins fermes et ronds comme des ballons trop gonflés, ses cuisses et sa
chatte.
-- Tu peux y aller, c'est pas de la guimauve.
En empoignant rudement la chair (flasque) de ma cuisse, elle me montrait
comment elle attendait que je la prenne. Je lui ai enlevé son string, minimal
mais élaboré. J’ai tenté de pétrir sa "viande", mais elle
s'appliquait à durcir ses muscles pour résister à mes tentatives de massage.
J'ai commencé à trifouiller dans sa chatte dont les grandes lèvres pendantes me
fascinaient. Elle devait les étirer tous les jours comme en Afrique on s'étire
les oreilles. Ses fesses étaient dures comme des billes de bois, et tout son
corps huilé se dérobait à mes caresses exploratoires. Un gros clitoris
émergeait, décalotté comme un pénis de bébé. J'ai approché ma langue;
-- Suce, c’est un ordre. Et si c'est pas bien, je te
ratatine les couilles.
C’est ce qu'elle commençait à faire en malaxant durement ma queue raide et mes
roubignolles. J'ai attrapé ses grandes lèvres entre mes dents et j'ai introduis
ma langue le plus loin possible. Elle s'est amusée à contracter son bas-ventre
pour me barrer le passage. J'ai tenté de mordre sa chair musculeuse. Elle a relevé les cuisses pour dégager son
œillet. Je l'ai humecté d'un maximum de salive, j'y ai aventuré mes doigts, il
était souple, et s'ouvrait comme une motte de beurre.
-- Assez joué, c'est mon tour.
Elle s'est emparée de ma queue qu'elle a vigoureusement branlée et sucée, tout
en me pétrissant les couilles. Elle l'a prestement recouverte d'un préservatif
qu'elle avait préparé discrètement. J'étais allongé sur le dos. Elle s'est
enfilée sur moi et m'a chevauché. J'avais l'impression qu'elle me branlait à la
main, tant elle serrait et desserrait tour à tour les muscles de son vagin. Je
n'ai pas tardé à jouir. Elle a continué à me branler pour me vider toute la
moelle de mes os.
J'étais épuisé. Elle se rhabillait, c'est à dire qu’elle se paraît à nouveau de
son entrelac de rubans. Voyant que je tardais à me
relever, elle est revenue à moi :
-- C'est mou tout ça, c'est rien qu'du gras. La prochaine fois, je te ferai
faire de l'exercice. La baise, faudra qu'tu la mérites.
Elle tâtait mes biceps maigrichons et les bourrelets de graisse de mes hanches.
Je me suis rhabillé, elle m'a raccompagné à sa porte. Et juste au moment
d'ouvrir, elle m'a sussuré d'une voix sucrée :
-- Tu r'viendras mon chou?
Ô surprise, elle m'a serré tendrement contre elle et m’a enfoncé dans la bouche
une langue aussi active et musclée que tout le reste.
Dans la rue, je titubais, tout étourdi de fatigue et du souvenir de son baiser
d'adieu inattendu.
Conclusion
générale : Très bonne adresse pour changer des câlins. Prix élevé pour
42 minutes mais prestations originales et musclées.
Accueil : surprenant.
Peut-être différent pour les habitués.
Propreté
des lieux : excellente.
Propreté
des prêtresses : excellente. Douche et rapports protégés.
Alain Valcour
Fascinantes ces
poupées !