Ma cousine Sandra s'était
toujours dérobée à mes caresses.
Pourtant, le matin de sa communion
solemnelle, elle m'a laissé glisser les mains sous sa robe de dentelle
et caresser la peau si douce de ses cuisses entre le haut des bas et le
bord de la culotte. Son coeur battait fort et ses seins gonflés
se soulevaient au rythme saccadé de sa respiration.
Elle m'a offert sa bouche
au moment où mes doigts quittaient la fraîcheur de ses cuisses
pour s'introduire sous la soie de la culotte et investir sa momiche de
pucelle, vierge de tout poil, baveuse et satinée comme la bouche
d'un bébé. Pour ne pas crier sous les orgasmes en rafales
qui la secouaient, elle me laissait la baîllonner de ma langue.
- Arrête, j'ai envie
de pisser, me souffla-t-elle, prise de panique.
Sans répondre, j'ai
continué de plus belle à la branler. J'ai remonté
sa robe sur ses hanches et nous nous sommes accroupis tous les deux. L'orgasme
a été sauvage. L'urine a jailli en sifflant dans de creux
de ma main, chaude et mousseuse, comme je continuais à caresser
son bouton de plus en plus lentement. Elle a râlé comme une
bête à l'agonie.
Sa culotte était trempée,
ainsi que le haut de ses bas. Je la lui ai ôtée et je lui
ai essuyé les fesses et le bas-ventre avec mon mouchoir.
Une heure après, elle communiait des mains du curé qui l'avait catéchisée, les fesses nues et les cuisses humides, sans pouvoir penser à autre chose qu'à cette jouissance qu'elle venait de découvrir, ainsi qu'elle me l'a raconté ultérieurement.
Cette rencontre n'a été
que la première d'une longue série. Mais pour continuer à
jouer la pucelle effarouchée, Sandra a toujours refusé de
se montrer à moi complètement nue, ainsi que de se laisser
enfiler par devant, "pour être fidèle à son mari".
Par contre, l'arrière
m'était réservé.
C'est de sa robe et de ses
bas de communiante, maintes fois lavés et raccommodés, qu'elle
s'habille pour nos rencontres. Qu'elle ait ses anglais ne nous empêche
pas de nous faire jouir et de souiller de sang brun sa robe de vierge.
Elle fait souvent la pisseuse,
accroupie sur ma figure. J'enfouis mon nez et mes yeux dans sa toison maintenant
épaisse et soyeuse.
Bien que j'étouffe
sous sa robe, je fouille longuement de la langue sa chatte baveuse et son
oeillet, impatient de recevoir en pleine figure le jet dru et sifflant
d'urine brûlante.
Alain Valcour, avalc@free.fr